27 juillet. Après avoir dormi 4 heures, l'alarme nous réveille. Sasha sort de la douche et s'exclame "j'ai full envie d'y aller", en parlant de Los Angeles. Nous emballons nos brosse à dents et descendons au Lobby. Je vais encaisser un gain de la veille. Soleil et moi, étendue au hall d'entrée sur un divan, encore endormies nous attendons patiemment le check out. La faim nous mène ensuite à une Pizzeria. Elle est savoureuse, la pizza. Éric fait le plein d'essence dans la plus grande station de gaz au États-Unis. Nous avons 447km de route à faire. Sabrina, fatiguée, s'endort en 2 minutes. Je l'envie. Je n'arrive pas a faire une sieste dans la voiture.
Nous arrivons à Los Angeles à 6:00pm. Nous arrêtons dans un dépanneur, je m'achète une boisson énergisante, saveur barbe à papa. Le goût est rafraîchissant. Je sais pas si c'est la caféine ou la plage mais je suis surexcitée d'arriver à Santa Monica. Après avoir trouver un parking, Soleil enfile son costume de bain, Chad enlève son boxeur et moi je mets une nuisette avec le bas d'un maillot que mon amie me prête.
Je suis la première à tremper les pieds dans l'eau. Je reviens vers le sable, où sont installer nos sacs et j'annonce à mes copains que l'eau est chaude. Je suis Éric qui se dirige vers la mer. Il constate que ce n'est pas si chaud mais qu'on s'habitue bien à cette température. On s'amuse comme des enfants. Soleil est assise à prendre des photos de la vue. Nous nous demandons où est passer Sasha qui n'est plus sur la plage. Nous supposons qu'elle est partie se changer au toilette. Environ une quarantaine de minutes passent et les filles viennent nous rejoindre. Lorsque de grandes vagues arrivent, je sens un fort courant à travers mes jambes et les palpitations de mon coeur qui chavire en même temps que mon corps entier. Quand je ressort la tête pour respirer de l'air à la surface, mes lèvres ont un goût très salé. Je lance un regard inquet vers soleil qui a de la misère a reprendre son souffle, quelques vagues ont suffit pour la faire vomir. Je suis cramper de rire. Je pensais qu'elle avait avaler un grosse gorgée amer. J'ai paniquer pendant un instant. Chad lui, crie des niaiseries a chaque fois qu'on aperçoit la hauteur d'un tsunami qui se forme devant nous, j'entends le rire de Sasha qui suit. Sabrina me dit qu'elle a tournoyer pour finir par se cogner sur le sable du a la pesanteur de l'eau. Une fois, la vague était si puissante, que les fesses de Sabrina ont amorti le dessus de mon crâne. Par chance, ils sont moelleux.
Après cette bonne baignade,Chad veux aller faire les montagnes russes qu'on voit à côté. Bien sûr, moi aussi. Nous sommes assis sur le sable a observer le soleil qui se couche à 8:00h. Je médite. Les couleurs du ciel rosé, presque violet et le bleu de la mer sont magiques. C'est parfait pour capturer ce moment avec nos caméras. Nous allons ensuite se changer à la voiture. Les maneges ferment, nous n'avions pas vu le temps passer.
On se ballade sur le balcon de Santa Monica. Affamés, mon amie aussi gourmande que moi, apercevons des saucisses enrobé de bacon qui cuit dans un stand de nourriture. J'en prend deux et soleil de même. Chad nous apprend que la route 66 qui traverse la majorité du pays, termine ici. Ce chemin traverse 8 états, le trajet commence dans l'Illinois et finit en Californie.
Nous allons ensuite vers un boulevard très touristique. La rue avec toutes les étoiles de personnes connues écrite sur le trottoir.
Je rêve secrètement de l'être. La voiture parker. Éric nous mène vers le fameux panneau qu'on voit dans les films. Décevant, je ne sais pas si c'est la noirceur ou parce qu'il n'est pas illuminé qu'on ne peux voir le panneau Hollywood. Nous rentrons alors dans deux magasins. Dans le premier, je vois un pollar que ma fille m'a demander. Je le prend et sort. L'autre magasin, je choisis un T-shirt pour un ami et deux autres je ne sais pas pour qui encore.
Nous quittons la Californie pour retourner au Nevada à minuit et demi. Sabrina demande un arrêt pour aller au toilette avant d'entreprendre la route. Elle reviens dans la voiture. Elle m'offre un sunday au chocolat avec une mini cuillère en bois. Je suis émue. J'ai envie de pleurer comment je suis reconnaissante. Je savoure. Cette attention qui paraît banal pour d'autres mais, pour moi qui signifie tout. Sa me ramène loin derrière à mes 9 ans, quand j'allais au dépanneur dans ma réserve pour me procurer cette crème glacé. Ma préférée était au caramel.
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